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Photographe Saint Malo | Yann Chollet | Journaliste | Redacteur professionnel | Chargé de communication

Photographe professionnel à Saint-Malo depuis plus de 20 ans. Chargé de votre communication en externe pour élaborer votre stratégie publicitaire ! Rédacteur spécialiste au service de l'écriture et de publications diverses. Rédactionnel - Des articles pour donner un sens à l'image de votre entreprise. Photographe professionnel sur les secteurs de Saint-Malo, Dinard, Dinan, Bretagne. J'écris vos articles, rédactionnels pour vos sites internet ou plaquettes, vos publis, vos chansons. Photographe à Saint-Malo, faites le bon choix : Yann Chollet, prix compétitifs en photographie comme en rédactionnel.

Le Covid vu de façon brève, naïve et factuelle d’un habitant de la terre

Publié le 3 Septembre 2021 par batistes in exclusivité

Le Covid vu de façon brève, naïve et factuelle d’un habitant de la terre

Sans aucune théorie ni prétention

Chausey panoramique par Yann Chollet, Photographe à Saint-Malo

 

De janvier 2020 à septembre 2021

Le Covid s'invite dans nos vies

 

  • Janvier 2020, on commence à entendre parler d’un nouveau virus, vaguement, dans un quotidien : La Voix du Nord. « Une mystérieuse pneumonie en Chine ». Dés ce premier article, j’avoue avoir déjà quelques frissons.

 

  • Devant une certaine inquiétude de ce virus, les médias parlent d’un virus qui aurait été transmis par le Pangolin ou la chauve-souris du côté d’un marché de Wuhan en chine. L’OMS mettra enfin un nom sur cette pneumonie virale, le 11 février 2020 : Le Covid-19.

 

  • Bizarrement en se renseignant un peu, on voit qu’un laboratoire P4 haute sécurité est installé à Wuhan et qu’il s’agit d’un laboratoire de biologique, destiné à l’étude des virus pathogènes dangereux. Et deux laboratoires P3 où sont étudiés les Coronavirus. Du moins, personne n’en parle. On rappellera quand même pour la petite histoire que le Virus du Sras s’était échappé en 2004 d’un laboratoire de Pékin.

 

  • Les médias causent de complots face à ceux qui pensent que le virus vient du laboratoire. L’Etat français parle de masques pour se protéger et nous avons un déferlement de médecins venant nous affirmer des choses sur les plateaux télé ! Petit hic, il n’y a pas de masques en vente, c’est la pénurie mais nous allons relancer l’économie française en rouvrant les usines à masques que l’on a fermées ! MDR. Des stocks énormes pour 10 ans de machines à laver, de téléphones portables, de radiateurs, de produits chimiques, de consommables...et pas un seul masque !

 

  • Des images commencent à parvenir sur les réseaux de l’Italie sous confinement pour ceux qui savent les chercher. Des images assez apocalyptiques à mes yeux. C’est le silence à Rome, à Venise, sur les célèbres places italiennes et dans les petits villages. La vision est perturbante.

 

  • En France, pas de soucis, tout va bien, ce n’est rien !

 

  • Pourtant le 17 mars sonne le glas. Le premier confinement. Ça craint. Assez effrayant à vrai dire. Les médias parlent toujours du pangolin, et du manque de masques et des médecins viennent déverser des fausses vérités sur les plateaux. Normal, ils ne savent pas à quoi ils ont à faire. Mais ils sont affirmatifs. Un peu comme lors du nuage de Tchernobyl ou du sang contaminé. Faut causer.

 

  • Le confinement commence. Des gens sont plutôt contents car ils sont chez eux, dans une grande maison à poursuivre le cours de leur vie. De nombreux autres sont effrayés, c’est la peur. L’Etat paye du Cash à tout va alors que quelques mois auparavant on nous avait dit qu’il fallait se serrer la ceinture pour remonter l’économie française, réformer les retraites, payer l'essence et les clopes des fumeurs. C’est fou, la machine à billets se met en route. On ne pourra jamais compter ceux qui en ont  largement profité, sous couvert de montages financiers, de toute façon personne n’en parle et n’en parlera. Les esprits sont ailleurs. Ça sauve quand même l’économie de ceux qui jouent le jeu. Mais nous le payerons un jour. Nos enfants.

 

  • Les femmes, les enfants battus qui vivent dans des 20 mètres carrés, payent le prix fort du confinement. Des coups dans la gueule au quotidien, ça n’intéresse pas. Ni maintenant, ni avant. Tout comme les personnes déjà fragiles psychologiquement qui pètent des plombs en silence. Les suicides explosent mais en silence. Des gens meurent du Covid, on nous fait des théories sur ce virus, mais rien ne semblent corrects. Personne ne sait rien en fait ! C’est l’inconnu, on disserte oui, mais la dissertation, ce n’est bon qu’à l’école. Un post Twitter vaut plus qu'une étude sérieuse. Un post Insta vaut plus qu'un article dans une revue scientifique !

 

  • Les médias nous assènent de conneries, les hommes politiques disent des choses sans savoir mais ils disent. Des gens débattent sur des vérités. Leurs vérités mais souvent faussent ! De quoi alimenter les doutes. Chacun a sa vérité. 

 

  • Les jeunes dans tout ça sont ballotés de droite à gauche, sont oubliés comme toujours. Les hôpitaux commencent à se remplir, les urgences aussi. Les maladies communes sont oubliées et rien ne va. Des entreprises commencent à souffrir, les indépendants sont oubliés, les infirmiers sont au front, c’est le flou. On demande encore plus à une profession qui donne déjà tant pour si peu. Et puis l'amour dans tout ça : ça se déchire, ça se complique, les couples habitués à vivre loin la journée, se retrouvent comprimés toute la journée. Invivable vie pour nombreux d'entre eux.

 

  •  On nous parle toujours d’un pangolin. On vit dans une sorte de chaos qu’on accepte, parfois en fermant nos yeux. Comme si ce virus mobilisait toutes nos heures, entrait dans notre vie. C’est l’angoisse forcément, ça pèse. La directive confinement est valable de Paris aux recoins perdus de la France. Difficile pour un humain qui vit dans un village, entouré de forêt de comprendre. Les parisiens s’éparpillent sur les terres vierges pour se confiner. La diffusion du virus à grande échelle.

 

  • Les provinciaux s'énervent, les parisiens s'énervent, tout le monde s'énerve ! Un jour, hier, la France c'est Paris et là, d'un coup, La France c'est la France :). Comme le dit si bien Tryo d'un coup d'un seul : "C'est l'hymne de nos campagnes, de nos rivières, de nos montagnes, c'est la vie Man". (aparté musicale).

 

  • Enfin, c’est l’été, la respiration. Tout va mieux, soit disant et l’on peut ressortir pourvu que l’on porte le masque. C’est tout. Mais fort de constater que les cas continuent d’augmenter. Les humains oublient tout, font la fête pour certains à outrance sans se soucier de rien. C’est la Big Party, le relâchement total. Bien entendu, on reconnait là, l’individualisme commun des français. Je ferme les yeux du moment que moi, je vais bien. Les autres, "je m'en bats l'œil" comme disait un certain Léo Ferré : "De tout c’qui leur arrive aux humains, mes frangins, du rif dans l’sud asiate, d’la fringale chez Bouddha, de leur ségrégation made in Américain...". (aparté poétique).

 

  • D’autres restent en retrait et font attention. La vie continue cependant mais d’une nouvelle façon. Rien n’est plus pareil. Les petits ne comprennent rien entre les médias, les parents, les amis. C’est la merde. A 5 ans, quand tu vois autour de toi des gens masqués, des gens stressés, c’est une enfance qui commence mal.

 

  • Plus personne n’est crédible aux yeux de personne. Les amis vous racontent ce qu’il faut faire. Les médias ne font pas d’investigation pour avoir des réponses. On aurait tendance à dire pour ceux qui connaissent l’histoire des médias, que l’investigation se fait rare. Des médecins viennent sur les plateaux, toujours, raconter n’importe quoi ou ce qu’ils pensent. Des chroniqueurs se prennent pour des médecins. Les hommes politiques sont perdus et se prennent pour des chroniqueurs. Certains d’ailleurs partent du gouvernement, c’est plus simple parfois, surtout lorsque l’on commence à faire des « pelades » dues au stress intense.

 

  • L’économie est défaillante. Mais attention silence, car l’Etat abreuve certaines entreprises, parfois les plus grosses, à coups de millions. Certains entrepreneurs s’aperçoivent que finalement, on peut se passer d’employés ou les faire bosser chez eux. Mais bosser chez soi, quand on a une vie sociale commune ça stress, ça casse, ça dépasse le bon entendement. Mon cousin, conseiller téléphonique en payera le prix quelques mois plus tard, en nous quittant d’une crise cardiaque à 49 ans. Les artistes du plus petits aux plus grands sont en Stand-By : La culture de toutes façons, ce n'est pas utile, on le sait ! Et puis Gims continue de sortir des tonnes de chansons donc tout baigne ! (aparté humoristique). Toutes les professions sont touchées.

 

  • Le temps passe, des gens continuent de mourir, c’est le deuxième confinement d’octobre 2020. Rebelote. Les étudiants sont dans l’impasse. Déjà oubliés habituellement, c’est pire. Mais il ne faut pas trop en parler car les étudiants ont l’habitude de se taire : normal, ce sont des jeunes qui n’osent pas se plaindre, par manque d’expérience. Souvent seuls. On ne parlera pas, ici, des systèmes que l'on a inventés pour eux : si complexes et si incompréhensibles. Pas grave, on les a mis en Visio devant certains profs qui font leur cours : clopes au bec, verre de rouge sur la table, complément à l'Ouest : c'est du délire. C'est la fête du slip.

 

  • Les indépendants sont aussi dans l’impasse. Ça promet des belles choses comme d’habitude mais tout est complexe comme d’habitude alors certains laissent tomber et ne remplissent pas les dossiers trop lourds proposés. Et puis, même si les aides arrivent, qu'en est-il pour comptabiliser les retraites, les impôts, la taxe foncière et tout et tout. Pour avoir lu des pages et des pages, c'est incompréhensible ! Tout est mélangé, rien n'est clair. C'est une honte administrative, une arnaque mais comme chacun est dans son coin avec ses problèmes, tout le monde se tait. En réalité tout le monde est conscient qu'il y a un gros problème mais c'est le silence.

 

  • "Ce qui vous déshonore, c'est la propreté administrative, écologique dont vous tirez orgueil. Dans vos salles de bains climatisées, dans vos bidets déserts, En vos miroirs menteurs...Vous faites mentir les miroirs, vous êtes puissants au point de vous refléter tels que vous êtes..."

 

  • Non seulement en temps normal les administrations sont à la ramasse mais là, c’est le chaos. Personne n’est joignable, c’est fou. Tout est lent. Pour avoir testé, le numéro pour les femmes battues 3919 est injoignable plusieurs semaines, à plusieurs reprises, pendant le Covid, ça fait peur. On nous vend des promesses à travers des pubs ou des messages étatiques mais c’est le bordel. Quand vous êtes sous le jouge d’un mari fou, vous tentez d’appeler une fois, mais pas deux.

 

  • Beaucoup d’entreprises sont dans l’impasse. Mais c’est toujours le pangolin le responsable. Normal, personne ne fait d’investigation !

 

  • On entend un professeur depuis des mois, parler différemment dans les médias, mais les journalistes sont plus à la recherche de polémiques que de renseignements, c’est clair. A se faire mousser, à se mettre en avant, à qui assurera son propre statut. Ce professeur connu et reconnu est démonté par d’autres médecins sous fond d’arguments étranges, peu fiables. Rien n’est fiable, la crédibilité n’est plus ! Sans parler des Fakes News qui abreuvent les réseaux en toute impunité. C'est le monde à l'envers, à l'envers de l'envers

 

  • Après le manque de confiance envers les politiques, les amis, les médias, nous n’avons même plus confiance en nos médecins. Et parfois même plus en nous même. C’est grave !

 

  • La France se déchire, se divise ici et là. Les autres pays sont aussi à l’agonie. En Russie ou en Chine, il n’y a plus de cas Covid ? Super, c’est magique les régimes communistes. Mais chez nous oui, les cas continuent, les morts aussi, l’incertitude s’amplifie ! Trump n'est pratiquement plus, c'est déjà ça.

 

  • C’est Noël, la nouvelle trêve, le souffle, l’espoir. D’autant plus qu’un vaccin miracle est arrivé depuis et que les vaccinations sont avancées. Mais la vie continue, on continue d’avoir des maladies, on continue d’enterrer nos morts, on continue d’essayer d’avancer, on continue de pleurer et de rire. Parce que si le virus poursuit sa route,  mobilise nos esprits, les cancers, les arrêts cardiaques, le diabète, les maladies orphelines poursuivent aussi leur route.

 

  • Bon, c’est sur, beaucoup ont des doutes sur le vaccin car dans l’histoire de la médecine, jamais un vaccin n’a été trouvé aussi rapidement. C’est le miracle du vaccin à « ARN messager ». Des gens les plus idiots du monde répètent ce qu’on leur a dit à la télévision. Normal, la télé, c’est la vérité : c’est la télé-vérité juste après la téléréalité. Les réseaux sociaux c’est la vérité. Vérifiez quand même pour savoir si vous avez autant d’amis Facebook ou Insta que dans votre vraie vie ! Vous allez être déçus !

 

  • Des études tombent, assez rapidement avec peu de contrôles, c’est super ! Pourtant en faisant des recherches profondes et utiles, on se rend bien compte qu’il ne s’agit pas d’un miracle : l’ARN messager. Certainement une magnifique avancée mais la médecine doit se forger sur des certitudes par sur des approximations. Ça ramène à un document sur les Phages que j’avais lu voilà déjà 20 ans : on n’en parlait pas à l’époque, mais aujourd’hui, ils sont utilisés de plus en plus en médecine. Alors qu’hier, on n’en disait que du mal (petite aparté). Quoi comprendre ?

 

  • D'autant plus qu'on retire, alors, certains vaccins du marché (peu efficaces).

 

  • Le virus continue de tuer. L’Etat continue de nous abreuver de vérités, les médecins aussi, les médias également, c’est un gros bordel car personne ne sait rien en fait. On avance, on suppose sur le virus. On imagine, on extrapole sur le virus. On rit, on se moque du virus (certains). Mais c’est toujours le pangolin mais de moins en moins dans les esprits.

 

  • D’ailleurs, on commence à penser que ce n’est pas le pangolin. Ah mince, élémentaire mon cher Watson : Faut quand même pas être con pour comprendre qu’un virus né en chine à Wuhan ne vient pas d’un pangolin. Surtout s’il y a, à quelques kilomètres, un laboratoire « expérimental ». Il aura fallut 1 an et demi pour le comprendre et l’avouer à mi- mot, c’est long quoi ?

 

  • Et l’histoire continue avec des débats stériles, des obligations stériles et des médias stériles. On pense plus à vendre de l’espace pub qu’à faire de l’investigation. Rien mais absolument aucune investigation réelle réalisée dans les médias français. Peut-être quelques vérités ici et là, sous fond de dépêches mais rien d’autre. Clair que la Chine bloque aux frontières, normal pour les maîtres du monde.

 

  • On peut parler de désinformation globale, un vide médiatique où seuls les chroniqueurs de certaines émissions font vibrer les cœurs et les têtes. Pas toujours de bonne manière mais ils le font. On nous pourrit l’esprit de chiffres, d’affirmations qui le lendemain sont contradictoires avec d’autres nouvelles informations. C’est la forme d’angoisse médiatique virulente : celle qui vous fait douter en permanence. Pas grave, Michel Drucker va reprendre son émission du Dimanche ! (Aparté pour toi Michel si tu nous regardes)

 

  • Ceux de mars 2020 ont déserté les plateaux tellement ils ont dit de conneries ! Il faudrait 20 livres pour recenser toutes ces phrases absurdes. Ces petites phrases à la "va-vite" qui ressemblent plus à des slogans. Cela traite de quelque chose, semble impactant mais ça ne veut rien dire !

 

  • Et l’on se retrouve quelques mois plus tard à devoir se faire vacciner par un vaccin dont il faut une dose, puis deux, puis une dose de rappel puis une nouvelle dose. Le tout sans être certain d’être protégé, sans être certain de ne pas avoir d’effets indésirables plus tard ? Mais c'est obligatoire, sans être obligatoire : c'est comme tout : on a le droit de ne pas le faire mais faut le faire si non, on n'a plus le droit ! (Cette phrase n'est que futile tournure pour expliquer l'inexplicable).

 

  • On travaille dans l’urgence. Oui mais l’on protège les autres ? Et puis finalement on ne protège pas les autres. Et puis finalement c’est de l’eau ? Non, je rigole. Et puis finalement ça coûte une blinde. Et puis finalement, le virus a encore muté. Et puis finalement, faut se refaire vacciner ! Finirons-nous par nous vacciner contre les vaccins que nous avons reçus ?

 

  • "Voici le reçu pour votre mari et voici le reçu pour mon reçu" : Film Brazil de Terry Gilliam.

 

  • On protège les autres avec un vaccin qu’on ne connaît pas, d’un virus qu’on ne connait pas. D’un virus dont on ne sait même pas l'origine.

 

  • Dés l’arrivé du virus certains disaient qu’ils muteraient mais ils étaient traités comme des pestiférés (c’était lisible dans des revues de médecine mais bon). Et il a muté. D’autres disaient qu’il arriverait à investir le système des enfants et ça commence (mais on en parlait déjà dans des recherches voilà un an et demi). D’autres disaient qu’il ne venait pas du Pangolin ou de la chauve souris. Et puis finalement il ne vient pas du pangolin. Combien de scientifiques, de journalistes, de chroniqueurs nous ont affirmé le contraire ? Mais où sont-ils ?

 

  • Pendant ce temps, nous sommes devant la télé et nous entendons des gens comme Eric Naulleau, Yann Moix qui nous donnent des leçons de civisme ou veulent nous dicter leurs lois. On nage en plein délires : de la phrase longue, de longs discours pour du vide. Les mecs, ils se prennent pour des médecins, des sortes de Dieux vivants. Ils nous fatiguent en fait. Ils s’achètent des consciences, des égos. Ils tentent de détruire tout argument ne provenant pas de leur esprit comprimé. Ils sont des dizaines comme eux, à nous presser le citron au quotidien. Ils ne sont que des clones de leur égo, c’est fou. On préférerait quand même un peu de vérité même si elle est dure à entendre.

 

  •  Enfin voilà, nous sommes le 2 septembre 2021. Il faut ou il ne faut pas se faire vacciner pour un virus venu d’un Pangolin... Ah non ce n’est plus le pangolin c'est vrai !

 

  • A mes yeux d’humain un peu censé j’imagine deux cas possibles : soit ce virus vient d’un Pangolin et la société n’a pas terminé de se poser des questions auxquelles nous aurons du mal à répondre. Soit le virus vient bien du laboratoire cité plus haut et dans ce cas, il faut trouver son inventeur et travailler en fonction sur ce thème. On perd du temps à divaguer, à attendre un miracle. Faut aussi soigner les gens, trouver les bons médicaments mais vraiment.

 

  • Savoir comment cela a été fabriqué et comment y remédier. Tout le reste : débats, affirmations, chiffres, obligations ne sont que foutaise ! Y a du trafic sur les chiffres comme toujours. Des uns et des autres. Il faut chercher le mal à la racine et non pas dans nos cerveaux stériles en essayant d’inventer des théories de survie ou en dénigrant les uns, puis les autres, puis les uns de nouveau.

 

  • Ce sont les vraies questions à se poser. Il faut arrêter avec les questions existentielles sur un passe sanitaire, un vaccin, un masque à porter ou non, des mains à se laver ou non. Bien sur qu’il faut se protéger, bien sur qu’il faut faire gaffe, bien sur qu’il faut agir dans l’urgence mais...

 

  • Trouver l’origine permettra d’en savoir vraiment plus et peut-être de se sortir de ce qui noue nos têtes, nos vies et l’espoir de nos enfants. Terminé les questions inutiles, il faut des réponses. On a plus le temps de disserter. Que les journalistes retrouvent de la place pour l'investigation, que les Etats agissent et demandent des comptes, que les chroniqueurs s'attardent à chroniquer, que les médecins continuent de chercher. Que le chef d'Etat arrête de jouer sur Tik Tok, pendant que des étudiantes se prostituent pour payer leurs études ! (Aparté philosophique)

 

  • A 50 ans ont à déjà bien vécu alors pensons un peu à ceux qui viennent.

 

  • C’est un peu comme la nature qui se vide de sa moelle vitale actuellement. Sous nos yeux depuis des années. Si l’on ne fait rien maintenant, il n’y aura plus rien maintenant car demain, c’est maintenant. On peut parler des heures mais à quoi ça sert si au bout il n'y a rien !

 

  • Gardons force et courage dans l’adversité. Du moins essayons. 
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